Unsuccessful Dietetic Internship Applicants: A Descriptive Survey

Purpose: We examined the demographic characteristics of applicants who applied and were unsuccessful in securing an internship position, what these applicants did afterward in their efforts to obtain an internship position, and which career paths they pursued. We also searched for any differences in eligibility between applicants who had not obtained an internship position and those who eventually were successful.

Methods: A 68-item online survey was administered.

Results: The study sample (n=84) was relatively homogeneous: female (99%), heterosexual (98%), Caucasian (70%), Canadian-born (75%), having English as a first language (73%), multilingual (40%), and having completed a previous degree (29%). Mean self-reported cumulative grade point average (3.35) exceeded the minimum (3.0) required by most Ontario internship programs. Over 25% eventually secured an internship position. Applicants who rated their packages strong in community nutrition were less successful in attaining an internship. Little difference in qualification was found between those who were eventually successful and not-yet-successful applicants.

Conclusions: Unsuccessful applicants met academic and other requirements for admission to dietetic internship programs in Ontario. Insufficient training opportunities, costs associated with internship, and competition may be contributing to a loss of human potential in dietetics.

Objectif: Nous avons examiné les caractéristiques démographiques des candidats qui ont tenté sans succès d'obtenir un poste d'interne, les efforts qu'ils ont subséquemment déployés pour obtenir un internat, et le cheminement de carrière qu'ils ont poursuivi. Nous avons de plus tenté de déterminer les différences sur le plan de l'admissibilité entre les candidats qui n'avaient pas décroché un internat et ceux qui avaient fini par en obtenir un.

Méthodes: Un sondage en ligne de 68 questions a été distribué.

Résultats: L’échantillon étudié (n = 84) était relativement homogène, il s'agissait de personnes : de sexe féminin (99 %), hétérosexuelles (98 %), de race blanche (70 %), nées au Canada (75 %), dont la langue maternelle est l'anglais (73 %), multilingues (40 %) et possédant déjà un diplôme (29 %). La moyenne pondérée cumulative rapportée par les participantes (3,35) surpassait le minimum requis (3,0) par la plupart des programmes d'internat de l'Ontario. Plus de 25 % des candidats ont ultimement obtenu un internat. Les candidats qui considéraient leur bagage en nutrition communautaire comme étant riche ont connu moins de succès dans leur recherche d'un internat. Il y avait peu de différences sur le plan des qualifications entre ceux qui ont eu du succès dans leur démarche et ceux qui n'en avaient pas encore eu.

Conclusions: Les candidats qui n'ont pas eu de succès satisfaisaient aux exigences scolaires et aux autres exigences pour être admissibles à un programme d'internat en diététique en Ontario. À cet égard, des possibilités de formation insuffisantes, les coûts associés à un internat et la compétition pourraient contribuer à une perte de capital humain en diététique.