Abstract
Purpose: Family meals have been associated with improved dietary quality in children and adolescents, and yet very little is known about family meals beyond their frequency. Specific aspects of the breakfast, lunch, and dinner meal environments were described and compared, and the associations with overall diet quality were investigated.
Methods: Data on food intake andmeal environments were obtained in northern Ontario, southern Ontario, and Nova Scotia grades six, seven, and eight classrooms over the 2005 to 2006 school year. Specific aspects of themeal environments described were where themeal was consumed, with whomparticipants consumed eachmeal, who prepared themeal, and where the food was originally purchased. Diet quality was assessed using the Canadian version of the Healthy Eating Index. Cluster K-means procedures were used to classify into groups observations about the fourmeal environment variables.
Results: Three, eight, and six clusters of meal environments were identified for breakfast, lunch, and dinner, respectively. Diet quality was negatively associated with consuming/purchasing meals outside the home, and with skipping breakfast, lunch, and/or dinner.
Conclusions: Results have immediate relevance for familybased and/or school programs and policies aimed at educating and feeding children and adolescents.
Résumé
Objectif: Les repas pris en famille ont été associés à une meilleure qualité de l'alimentation chez les enfants et les adolescents. Pourtant, on sait peu de chose sur les repas pris en famille outre leur fréquence. Des aspects particuliers de l'environnement au déjeuner, dîner et souper ont été décrits et comparés, et leurs relations avec la qualité de l'alimentation globale ont été étudiées.
Méthodes: Les données sur l'apport alimentaire et l'environnement aux repas ont été recueillies dans des classes de sixième, septième et huitième année du nord de l'Ontario, du sud de l'Ontario et de la Nouvelle-Écosse pendant l'année scolaire 2005- 2006. Les aspects particuliers décrits étaient l'endroit où le repas était consommé, les personnes avec qui les participants consommaient chaque repas, la personne qui avait préparé le repas et le lieu d'achat des aliments. La qualité de l'alimentation a été évaluée à l'aide de la version canadienne de l'indice de saine alimentation. Des analyses en clusters (K-means) ont été utilisées pour classer les observations des groupes sur les quatre variables de l'environnement aux repas.
Résultats: Trois, huit et six clusters d'environnement aux repas ont été décelés pour le déjeuner, le dîner et le souper respectivement. La qualité de l'alimentation était négativement associée à la consommation ou à l'achat des repas hors de lamaison et au fait de sauter le déjeuner, le dîner ou le souper.
Conclusions: Les résultats revêtent une pertinence directe pour les politiques et programmes axés sur la famille ou l’école ayant pour but l’éducation et l'alimentation des enfants et adolescents.