Evaluation of a Collective Kitchens Program Using the Population Health Promotion

To evaluate the impact of the Calgary Health Region Collective Kitchen Program on various Population Health Promotion Model health determinants, data were collected through mail-in questionnaires that examined the members’ (n=331) and coordinators’ (n=58) perspectives of the program. Seventy-nine members (24%) and 26 coordinators (45%) were included in the study. Three incomplete questionnaires (from prenatal program members) were discarded. Sixty-one percent of members who reported income level and family size (n=61) had incomes below the low-income cut-off. Fifty-eight members (73%) reported improvements in their lives because of the program. Sixty-four members (81%) perceived they learned to feed their families healthier foods. The members reported their fruit and vegetable consumption before and since joining a collective kitchen, and the proportion of those consuming at least five fruit and vegetable servings a day rose from 29% to 47%. The most common reasons for joining this program concerned social interactions and support. Over 90% of the coordinators perceived that they were competent to coordinate a kitchen. The results indicate that the collective kitchens program addresses several health determinants, and may increase members’ capacity to attain food security and to achieve improved nutritional health.

Pour évaluer les effets du programme de cuisines collectives de la Calgary Health Region sur divers déterminants de la santé inclus dans le modèle de promotion de la santé de la population, des données ont été recueillies au moyen de questionnaires envoyés par la poste. Les questionnaires portaient sur la perception des membres (n=331) et des coordonnateurs (n=58) quant au programme. Au total, 79 membres (24 %) et 26 coordonnateurs (45 %) ont été inclus dans l’étude. Trois questionnaires incomplets (remplis par des membres du programme prénatal) ont été éliminés. Parmi les membres qui ont indiqué leur niveau de revenu et le nombre de personnes de leur famille (n=61), 61 % avaient un revenu inférieur au seuil du faible revenu. Le programme avait amélioré la qualité de vie chez 58 membres (73 %) et 64 membres (81 %) estimaient qu’ils avaient appris à nourrir leur famille avec des aliments plus sains. Les membres ont fait connaître leur consommation de fruits et de légumes avant et depuis leur adhésion à une cuisine collective, et la proportion de ceux qui consommaient au moins cinq portions de fruits et légumes par jour est passée de 29 % à 47 %. Les raisons invoquées le plus couramment pour adhérer à ce programme avaient trait aux interactions sociales et au soutien. Plus de 90 % des coordonnateurs estimaient qu’ils étaient compétents pour coordonner une cuisine. Les résultats ont montré que le programme de cuisines collectives porte sur plusieurs déterminants de la santé et peut améliorer la capacité des membres à atteindre la sécurité alimentaire et à améliorer leur santé nutritionnelle.