Zinc-specific Food Frequency Questionnaire To Assess College Women’s Eating Habits

Zinc deficiency has been reported in individuals with eating disorders, the risks of which increase during the adolescent and early adult years. A food frequency questionnaire (FFQ) specific for zinc-rich foods was tested for its usefulness in identifying problematic eating behaviour tendencies in college-age women. Ninety-two female students enrolled in a university introductory psychology course volunteered to complete demographic information, the Eating Attitudes Test (EAT-26), and a zinc-specific FFQ (ZnFFQ). Relationships among estimated zinc intakes, food/lifestyle habits, and eating attitude variables were examined. Twenty-five women had estimated intakes below the Recommended Dietary Allowance (RDA) for zinc. Individuals in the highest zinc intake group (over twice the RDA) had a tendency to score higher on the EAT-26 and the bulimia subscale. Vegetarians also scored high on the EAT-26. Although our data are limited, the ZnFFQ should be studied further to determine whether it could play a useful role in identifying individuals at risk for bulimia. The ZnFFQ is a simple, non-confrontational assessment tool and may be a helpful starting point for identifying women with unhealthy eating habits.

On a observé une carence en zinc chez des personnes présentant des troubles de l’alimentation; les adolescents et les jeunes adultes sont à risque accru. Un questionnaire de fréquence de consommation alimentaire portant précisément sur les aliments riches en zinc (QFAZn) a été testé auprès d’étudiantes universitaires quant à son utilité dans le dépistage des comportements alimentaires inadéquats. Au total, 92 étudiantes universitaires inscrites à un cours d’introduction à la psychologie se sont portées volontaires pour donner une information démographique complète, se soumettre au test d’attitudes alimentaires (EAT-26) et remplir un QFAZn. On a examiné les relations entre les apports estimés en zinc, les habitudes alimentaires et de vie et les variables liées aux attitudes envers l’alimentation. Vingt-cinq femmes avaient évalué leurs apports en zinc comme étant inférieurs aux Apports nutritionnels recommandés (ANR). Les sujets du groupe dont l’apport en zinc était le plus élevé (plus de deux fois supérieur aux ANR) avaient tendance à obtenir des scores plus élevés à l’EAT-26 et à la sous-échelle boulimie. Les végétariennes ont également obtenu des scores élevés à l’EAT-26. Bien que nos données soient limitées, le QFAZn pourrait faire l’objet de plus d’études pour déterminer son utilité dans le dépistage des personnes à risque de boulimie. C’est un outil d’évaluation simple, non offensant, et il peut servir de point de départ pour repérer les femmes présentant des habitudes alimentaires inadéquates.