Abstract
Purpose: Internationally, there is debate on whether a nutrient or a food-based approach to policy is more effective. This study describes the food/beverage availability in schools in Nova Scotia through a comparison of a traditional nutrient classification (“Maximum/Moderate/Minimum”), currently used in the provincial school policy and a simplified food-based system (“Core/Extra”).
Methods: School food environment audits were conducted in schools (n = 25) to record the food and beverages available. Registered dietitians categorized information using both the nutrient-based and simplified food-based classification systems. Number and percent in each category were described for items.
Results: Food and beverage items consisted of breakfast, lunch, snacks, beverages, and vending of which 81% were permissible by the policy, whereas only 54% were categorized as Core. Many snacks and vending items classified as Extra fell within either Moderate (45% and 35%, respectively) or Minimum (29% and 33%, respectively) categories.
Conclusions: Dietitians have a role to support interpretation of classification systems for school nutrition policies. The nutrient-based classification used in the policy permitted some items not essential to a healthy diet as defined by the Extra food-based classification. However, the food-based Core/Extra categorization had less detail to classify nutrients.
Résumé
Objectif. Il y a actuellement un débat à l’échelle mondiale à savoir si une approche fondée sur les nutriments est plus efficace qu’une approche fondée sur les aliments en matière de politique. Cette étude dresse un portrait de la disponibilité des aliments et des boissons dans les écoles de la Nouvelle-Écosse en comparant la classification traditionnelle basée sur les nutriments (maximum/modéré/minimum), laquelle est actuellement utilisée dans la politique scolaire provinciale, à un système simplifié fondé sur les aliments (de base/extra).
Méthodes. Des contrôles de l’environnement alimentaire des écoles (n = 25) ont été menés afin de répertorier les boissons et les aliments qui y sont offerts. Des diététistes ont catégorisé l’information en utilisant à la fois le système de classification fondé sur les nutriments et le système de classification simplifié fondé sur les aliments. Les articles étaient décrits selon leur nombre et le pourcentage qu’ils représentaient dans chaque catégorie.
Résultats. Les boissons et les aliments étaient des articles de déjeuner, de dîner, de collations, de boissons et de machines distributrices dont 81 % étaient autorisés par la politique, alors que seulement 54 % étaient placés dans la catégorie « de base ». Plusieurs collations et articles des machines distributrices classés dans la catégorie « extra » se retrouvaient dans la catégorie « modéré » (45 %, 35 %, respectivement) ou « minimum » (29 %, 33 %, respectivement).
Conclusions. Les diététistes ont un rôle à jouer pour soutenir l’interprétation des systèmes de classification des politiques en matière de nutrition en milieu scolaire. La classification fondée sur les nutriments utilisée dans la politique autorisait certains articles non essentiels à une saine alimentation alors qu’ils étaient définis comme « extra » dans la classification fondée sur les aliments. Cependant, la catégorisation « de base/extra » fondée sur les aliments n’offrait pas une classification des nutriments aussi détaillée.