Barriers to Oral Food Intake for Children Admitted to Hospital

Children are at risk for malnutrition in hospital, and a contributing factor may be poor oral intake. Barriers to intake have been studied in adults, but there is a lack of research in children. The purpose of this study was to identify the potential barriers to oral intake for children in hospital. Patients and families (n = 58) admitted to surgery and medicine units at the Stollery Children’s Hospital completed a survey on barriers to oral food intake. Barriers were classified into 6 domains and major barriers were those identified by at least 30% of the population. On average each patient was affected by 22% of the barriers. Within each domain, the proportion of patients identifying at least 1 barrier was as follows: organization (74%), hunger (67%), quality (60%), effects of illness (53%), choice (38%), and physical limitations (29%). Having food brought in from home due to hunger, not wanting what was ordered once it arrives, food quality, decreased appetite, sickness, fatigue, and pain were identified as major barriers. Children have unique barriers to oral food intake in hospital which have not been previously identified. Food service models should consider these barriers to better meet the needs of this population.

Les enfants hospitalisés risquent de souffrir de malnutrition, et cela peut s’expliquer en partie par un mauvais apport oral. Les obstacles à l’apport alimentaire ont été étudiés chez les adultes, mais il manque de données chez les enfants. L’objectif de cette étude était d’identifier les obstacles potentiels à l’apport oral chez les enfants hospitalisés. Les patients et familles (n = 58) admis dans les unités de chirurgie et de médecine de l’Hôpital pour enfants Stollery ont rempli un sondage sur les obstacles à l’apport oral en aliments. Les obstacles ont été classés en 6 domaines, et les principaux obstacles étaient ceux identifiés par au moins 30 % de la population. En moyenne, chaque patient a été touché par 22 % des obstacles. Dans chaque domaine, la proportion de patients ayant identifié au moins 1 obstacle était la suivante : organisation (74 %), appétit (67 %), qualité (60 %), effets de la maladie (53 %), choix (38 %) et limitations physiques (29 %). Le fait d’apporter de la nourriture de la maison en raison de la faim des patients, de ne plus vouloir le repas commandé une fois celui-ci livré, la qualité de la nourriture, l’appétit réduit, la maladie, la fatigue et la douleur ont été identifiés comme des obstacles majeurs. Les enfants hospitalisés font face à des obstacles uniques quant à l’apport oral en aliments qui n’avaient pas été identifiés auparavant. Les modèles de services alimentaires devraient tenir compte de ces obstacles pour mieux répondre aux besoins de cette population.