Dietitian Involvement Improves Consumption of Oral Nutrition Supplements in Hospitalized Patients

Hospitalized patients are at an increased risk of malnutrition due to multiple factors including, but not limited to, acute and chronic diseases especially those affecting gastrointestinal tract, surgery, appetite, and frequent nil per os while undergoing diagnostic workup. Because of this, guidelines suggest the use of oral nutritional supplements (ONS) in hospitalized patients to reduce the risk of malnutrition and its complications. The current report aims to highlights key findings from a cross-sectional survey of 99 hospitalized patients who were at risk for or diagnosed with malnutrition and prescribed ONS. Data regarding ONS prescriber information as well as number ordered and consumed were collected. Of the 2.4 ± 1.5 supplements ordered per person each day, only 1.3 ± 1.1 were consumed, and there was 48% wastage of prescribed ONS. However, dietitian involvement was associated with significant reduction in wastage. Given the need and benefit, it is imperative for the nutrition community to further explore best practices to improve ONS consumption.

Les patients hospitalisés présentent un risque accru de malnutrition en raison de multiples facteurs, dont les maladies aiguës et chroniques, en particulier celles qui affectent le tractus gastro-intestinal, les chirurgies, l’appétit et la nécessité fréquente de ne rien consommer par la bouche avant un examen de diagnostic. Pour cette raison, les lignes directrices suggèrent l’utilisation de suppléments nutritifs oraux (SNO) chez les patients hospitalisés afin de réduire le risque de malnutrition et les complications associées. Le présent rapport vise à mettre en lumière les principales conclusions d’une enquête transversale menée auprès de 99 patients hospitalisés qui étaient à risque de malnutrition ou qui avaient reçu un diagnostic de malnutrition et à qui l’on avait prescrit des SNO. Les données sur les prescripteurs de SNO ainsi que sur le nombre de ces suppléments commandés et consommés ont été collectées. Sur les 2,4 ± 1,5 suppléments commandés par personne chaque jour, seuls 1,3 ± 1,1 ont été consommés, et 48 % des SNO prescrits ont été gaspillés. Cependant, l’intervention de diététistes a été associée à une réduction significative du gaspillage. Compte tenu des besoins et avantages, il est impératif que la communauté de la nutrition explore davantage les meilleures pratiques pour améliorer la consommation de SNO.