Impact Evaluation of an After-school Cooking Skills Program in a Disadvantaged Community: Back to Basics

Purpose: Few efficacious child obesity interventions have been converted into ongoing community programs in the after-school setting. The aim of this study was to evaluate the impact of phase 2 of the Back to Basics cooking club on dietary behaviours and fruit and vegetable variety in a population at risk of obesity at a low income school with > 10% indigenous population.

Methods: Baseline and 3-month dietary intake and social cognitive theory (SCT) constructs were collected in 51 children, mean age 9 years, 61% female. McNemar tests were used for comparison of proportions between categorical variables. Cohen's d was used to compare effect sizes across different measures.

Results: Consumption of one or more fruit servings per day significantly increased from 41% to 67% (P = 0.02, d = 0.13) and there was a trend for increasing the weekly variety of fruit and vegetables. The SCT constructs assessed within the current study improved significantly (P < 0.05), with moderate to large effect sizes (d = 0.33–0.78).

Conclusion: This study documents that a previous efficacious healthy lifestyle program can be adapted for use as an obesity prevention program addressing improvements in vegetable and fruit intakes in a low income community with a relatively high indigenous population.

Objectif: Peu d’interventions efficaces en matière d'obésité infantile ont été converties en programmes communautaires pour le contexte parascolaire. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’impact de la phase 2 du club de cuisine Back to Basics sur les comportements alimentaires et la variété de fruits et légumes consommés au sein d’une population à risque d’obésité issue d’une école accueillant des élèves à faible revenu, dont plus de 10 % étaient d’origine indigène.

Méthodes: Des données relatives à l’apport alimentaire et à certains concepts de la théorie sociale cognitive (TSC) ont été recueillies au début de l’étude et après 3 mois auprès de 51 enfants qui avaient en moyenne 9 ans et dont 61 % étaient des filles. Des tests McNemar ont été utilisés afin de comparer les proportions entre diverses variables nominales. De plus, on a eu recours au d de Cohen pour comparer les valeurs d’effet de différentes mesures.

Résultats: La proportion de personnes consommant une portion de fruits ou plus par jour a considérablement augmenté, passant de 41 à 67 % (p = 0,02; d = 0,13), et on a observé une tendance à l’accroissement de la variété de fruits et légumes consommés chaque semaine. Par ailleurs, on a observé une amélioration significative des concepts de la TSC évalués dans le cadre de la présente étude (p < 0,05), avec des valeurs d’effet modérées à fortes (d = 0,33–0,78).

Conclusion: Cette étude démontre qu’un programme axé sur un mode de vie sain ayant montré son efficacité peut être adapté et servir de programme de prévention de l’obésité visant à améliorer la consommation de légumes et fruits dans une communauté à faible revenu où la population indigène représente un pourcentage relativement élevé.