Knowledge Translation in Dietetics: A Survey of Dietitians’ Awareness and Confidence

This study aimed to determine dietitians’ familiarity with knowledge translation (KT), confidence in undertaking KT, and preferences for receiving KT training. An online questionnaire was designed and disseminated to all dietitians working across hospital and health services in Queensland, Australia, for completion over a 6-week period (April–May 2018). Of the 124 respondents, 69% (n = 85) reported being familiar with KT, but only 28% (n = 35) reported being confident in applying KT to their practice. Higher confidence was reported with problem identification, evidence appraisal, and adapting evidence to local context, compared with implementation, evaluation, and dissemination. Almost all respondents reported an interest in learning more about KT (n = 121, 98%), with a preference for easily accessible and short “snippets” of training aimed at beginner–intermediate level. Lack of management support, difficulty attending multi-day courses, cost, travel requirements, and lack of quarantined time were reported barriers to attending KT training. There is a high awareness and interest but low confidence in undertaking KT amongst dietitians. This highlights an opportunity for workforce development to prepare dietitians to be skilled and confident in KT. Training and support needs to be low-cost and multi-modal to meet diverse needs.

Cette étude vise à déterminer le niveau de familiarité des diététistes avec le transfert des connaissances (TC), leur confiance à entreprendre une activité de TC et leurs préférences pour recevoir une formation sur le TC. Un questionnaire en ligne a été créé et diffusé à tous les diététistes travaillant dans les services hospitaliers et de santé du Queensland, en Australie, et devait être rempli sur une période de six semaines (avril à mai 2018). Des 124 répondants, 69 % (n = 85) ont indiqué connaître le TC, mais seulement 28 % (n = 35) ont indiqué avoir confiance en leur capacité à appliquer le TC dans leur pratique. Un degré de confiance plus élevé a été signalé concernant l’identification des problèmes, l’évaluation des données probantes et leur adaptation au contexte local, comparativement à la mise en œuvre, à l’évaluation et à la diffusion. Presque tous les répondants ont dit souhaiter en apprendre davantage sur le TC (n = 121, 98 %), et une préférence a été remarquée pour les formations « fragmentées », courtes et accessibles ciblant le niveau débutant/intermédiaire. Les obstacles à la participation à des formations sur le TC rapportés sont l’absence d’appui de la direction, la difficulté à suivre des cours de plusieurs jours, les coûts, les exigences liées au déplacement et la difficulté à s’isoler pour suivre la formation. La sensibilisation et l’intérêt sont bien présents, mais la confiance à entreprendre des activités de TC est faible chez les diététistes. Cela met en lumière une occasion de perfectionnement de la main-d’œuvre afin de préparer les diététistes pour qu’ils soient compétents et sûrs d’eux pour entreprendre des activités de TC. La formation et le soutien doivent être peu coûteux et multimodaux afin de répondre aux divers besoins.